Retrouvez le nouvel article de Christine DUGOIN-CLEMENT, Doctorante à l'IAE Paris - Sorbonne.
L’élection présidentielle se tiendra bien le 31 mars en Ukraine, comme l’a décidé la Rada (le Parlement) après les derniers événements survenus en mer d’Azov. Si cette nouvelle rassure ceux qui craignaient que ce vote ne soit repoussé sine die suite à ces graves incidents avec la Russie, les enjeux – et donc les interrogations – liés à cette élection restent multiples. La nature même de la Constitution ukrainienne ne permet pas d’assurer une stabilité gouvernementale avec la seule élection du chef de l’État. Ce scrutin sera aussi une occasion pour nombre d’oligarques de pousser leurs poulains et leurs intérêts en se livrant une bataille parfois peu visible pour les observateurs extérieurs. Par ailleurs, la guerre est encore et toujours active en Ukraine, que cela soit sous sa forme cinétique dans l’Est ou sous la forme dématérialisée d’attaques cyber et informationnelles. [...]
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