Retrouvez le nouvel article de Christine DUGOIN-CLÉMENT, membre associé au Laboratoire de Recherche de l'IAE Paris - Sorbonne.
La concentration des forces militaires russes aux frontières de l’Ukraine, qui inquiète de nombreux observateurs, rappelle des événements similaires survenus au printemps dernier, qui n’avaient pas dégénéré en guerre ouverte. Faut-il s’attendre à une simple répétition de cet épisode, quand la Russie s’était contentée de montrer les muscles ? Ou bien le risque est-il, cette fois, plus élevé ?
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